Un iop, une légende. Vraiment ?!

Un jour dans le petit village d'astrub, un petit iop prénommer Perpit s'amusait à volé dans les plumes des pauvre petits pious. Il venait de fêter son 103 ème cercles et il était vraiment fière de son petit chapeau en fesse de bwork, c'était sa maman boulangère et son papa paysans qui avait économiser pour lui acheter ce beau cadeau. Quand il en eu assez avec ses petits amis les pious, il pris sa sacoche, et y mis quelques fioles de toute sortes. Ses parents, lui donnèrent quelques baguettes de pains, et bien sûr sans le faire payer.

Et il partit à l'aventure. Sur le chemin semé d’embûche il rencontra quelques amis, puis, arriver à la grande ville de Bonta il adhéra directement à l'ambiance de cette ville, il décida donc de venir dans les rangs des bontariens.

Le jeune Perpit adorait tuer, mais seulement quand il en avait l'occasion. Car sont ancien village était peuplé de nwoubs, et il ne pouvait pas les tuer car ils étaient encore trop jeune. Cette ville était faite pour lui, seulement il voyait beaucoup de personnes avec des petits écusson et quand il leur demandait qu'est ce que c'était leur réponses étaient Beague Banques, ou encore Ho' l'idée. Il su par la suite que l'on nommait cela des clans.

Perpit, avec enthousiasme, voulus chercher à son tour un clan. Après des heures à tourner dans Bonta. Il trouva enfin un clan qui s'appelait La Milice Ecarlate, tout de suite ce nom lui accrocha dans sa petite tête vide. Il devait l’intégrer. Dans les minutes qui suivie Perpit eu signer tout les parchemins de règles à respecter que lui donna le vieux monsieur. Celui ci lui demanda de lui faire parvenir son histoire. Pris a dépourvu, Perpit lui demanda de patienter un petit peu... Dans la soirée il envoya un tofu messager à la taverne du poney qui tousse. En parfumant son tofu de chachanel et en lui frisant les plumes, il disait que c'était mieux comme cela.

En attendant une réponse, le jeune iop continua à examiner de près, très près les petits oiseaux multicolores qui ce trouvait dans les rues de Bonta.

Un jour dans le petit village d'astrub, plus particulièrement vers la boutique des boulangers un petit iop prénommer Perpit s'amusait à volé dans les plumes des pauvre petits pious, à coup de baguette de pain et de plusieurs aptitude que lui avait apris son maître. Il venait de fêter son 103 ème cercles, il était donc devenue assez puissant pour ce faire quelques bouftouts et il était vraiment fière de son petit chapeau en fesse de bwork, sa maman qui est boulangère, et experte dans l'art de la confection de croissant et son papa qui est paysan, il était plus fort encore qu'un trool affamer. C'est eux qui ont économiser pour lui acheter ce beau cadeau. Quand il en eu assez de s'amuser avec ses petits amis les pious, il pris un petit chemin et alla chez lui, dans sa chambre il pris sa sacoche, et y mis quelques fioles de toute sortes, de la bave de bouftout et aussi des graine de sésame pour nourrir son petit bwak. Ses parents, lui donnèrent quelques baguettes de pains, et des bonbons pour la route.

Il partit à l'aventure. Sur le chemin semé d’embûche il rencontra quelques amis, c'était de gentilles personnes, une osamodas et un vielle enutrof, encore plus radin que le dieux enutrof en personne, puis, arriver à la grande ville de Bonta il adhéra directement à l'ambiance de cette ville, les puissants guerriers fesant leur marcher, et les jolie crâte avec des jupes très courte, il décida donc de venir dans les rangs des bontariens et de servir à leur côté pour la vie et pour la mort.

Le jeune Perpit adore tuer, mais seulement quand il en a l'occasion. Car sont ancien village était peuplé de nwoubs en tout genre, et il ne pouvait pas les tuer car ils étaient encore trop jeune et ils iraient pleurnicher chez la vielle enutrof... Cette ville était faite pour lui, seulement il voyait beaucoup de personnes avec des petits écusson sur leur bras, ceux ci était très coloré avec des petits dessins, et quand il leur demandait quel était cet sorte de gravure sur bras leur réponses étaient Beague Banques, ou encore Ho' l'idée. Il su par la suite, et avec l'aide de quelques milicien de bonta que l'on nommait cela des clans.

Perpit, avec enthousiasme, voulus chercher à son tour un clan qui lui ressemble. Mais après des heures et des heures à tourner dans le rues de Bonta. Il trouva enfin un clan qui s'appelait La Milice Ecarlate, on lui expliqua que le chef de ce clan était shyme et qu'il avait engagé un jeune ecaflip du nom de azariel. Tout de suite le nom de ce clan lui fit un choque. Il devait l’intégrer par n'importe quel moyen.

Dans les minutes qui suivie Perpit eu signer tout les parchemins de règles à respecter que lui donna le vieux monsieur. Celui ci lui demanda de lui faire parvenir son histoire. Pris a dépourvu, Perpit lui demanda de patienter un moment.

Il alla dans une taverne et pris la plume pour commencer son histoire, il eu des moment d’égarement mais au bout de quelques heures on pouvait voir marquer sur le parchemin :




A l'intention de tout les membres de La Milice Ecarlate,


Je me présente, Perpit vaillant guerrier et excellent artisan dans les bijoux et nourritures.

Si vous lisez cette lettres c'est que je demande la possibilité d’intégrer votre clan, pour aider les personnes aillant besoin de mes talents

mais aussi pour tuer les personnes comme les créatures ordonnée.

Voyer comme mon parchemin est court mais l'envie d’intégrer vos rang ne peu pas s'écrire a l'encre mais il s’écrit avec le coeur.

Aussi je vous demande d'accepter mes sincères salutations.


Une personne qui ne veux que servir.




il demanda l'adresse de la Milice Ecarlate au tavernier et envoya un tofu messager à la taverne du poney qui tousse le lieu de rendez vous de tout les membres de ce clan pour qu'ils puissent lire ce parchemin.

Le tofu envoyer était parfumer de chachanel et il était friser comme les poiles d'un sanglacier, il disait que c'était mieux comme cela.

En attendant une réponse de la part des lecteur du parchemin, il continua à mettre des déculoters aux petits oiseaux multicolores qui ce trouvait dans les rues de Bonta.

L'amas de parchemins gisait sur la table de sa chambre, la poussière avait installé un lit confortable dessus et s'y reposait depuis bien longtemps. Mais elle avait décidé de s'en occuper, il était temps. D'un geste brusque elle délogea la poussière à grands coups de plumes de Kidoh. Elle avait baptisé son ustensile : Plumoh. Elle arrangea peu à peu ce qui faisait office de plan de travail, puis d'un mouvement de recul observant la pièce, elle hocha la tête satisfaite. Ce soir elle recevait sa tante et son amie Halkoolo pour une réunion de travail importante.

Un coup d'œil à l'horloge la fit sortir de ses réflexions, elle bondit dans les escaliers et arriva dans la salle principale de la Taverne du Poney qui Tousse. Elle n'avait d'autres choix que de recevoir ses amis en ces lieux, sa maison ayant entièrement brûlé l'avant-veille par sa faute. La jeune maladroite tapota sa bedaine, signe révélateur d'une fringale. Elle commanda un menu léger, elle avait une séance d'entraînement, mieux ne valait pas porter son ventre à la place de son épée.

Comme à son habitude elle parcourut le panneau des candidatures à la recherche d'un postulant intéressant. Une seule nouvelle y figurait, qu'elle lut rapidement. Plusieurs expressions la prirent, tantôt déçue, tantôt intriguée. Lorsqu'elle vit le cœur tracé par Dame Kaizel elle ne put s'empêcher de pouffer de rire : elle repensait à une discussion cocasse qu'elle avait eu avec elle un soir...Sacré coquine dit-elle tout bas.

Elle prit un morceau de minerai taillé en pointe avec lequel elle écrivit non sans mal ces quelques lignes : "Bienvenu Perpit, je suis favorable pour que tu fasses tes preuves au sein de la Milice, surtout aux cuisines !" Elle allait quitter le panneau pour rejoindre le comptoir mais se ravisa et corrigea sa phrase, elle barra "aux cuisines" puis le remplaça par "au combat".

[HRP : un petit pour, en espérant que tu t'améliores — comme l'ont si bien dit Chymes et Lethis — je pense que tu en as la capacité. Je me propose en tutrice si vous le voulez bien !]